Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/414

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Je cherche envain la vérité 
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Je connais un berger discret (voyez Guillot a des yeux complaisans).
Je crois bien que si je voulions plaire, ou dessous mon menton, je vous en prie 
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Je l’ai planté, je l’ai vu naître 
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Je le compare avec Louis, ou quand on est deux et quand on s’aime 
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Je le tiens, ce nid de fauvette 
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Je loge au quatrième étage 
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J’ n’avions pas encor quatorze ans 
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Je n’ saurais danser 
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Je n’ai jamais aimé personne de ma vie 
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Je n’ai pour toute maison (voyez nous autres bons villageois).
Je n’ai trouvé que des ingrats (voyez consolez-vous avec les autres).
Je n’aimais pas le tabac beaucoup (air primitif) 
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Le même, air de Sollier 
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Je n’aime pas une grille entre mon amant et moi (voyez il est des amusemens).
Je ne me souviens qu’à peine 
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Je ne suis né ni roi, ni prince (voyez de tous les Capucins du monde).
Je ne suis pas si diable que je suis noir (voyez charmante Gabrielle).
Je ne suis plus de ces vainqueurs (voyez en deux moitiés, dit-on, le sort).
Je ne veux la mort de personne (voyez vaudeville de Lasthénie).
Je ne veux pas qu’on me prenne pour un petit babillard (voyez tout chacun l’aime et l’admire).
Je ne vous dirai pas j’aime 
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