Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/437

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Tendre fruit des pleurs de l’aurore 
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(Voyez pour l’air primitif de ces paroles : Oui, ce Colinet).
Tenez, moi je suis un bon homme 
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Tenez, monsieur Joconde 
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T’es dans tes atours, moi d’même 
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Tique, tique, toc et tin, tin, tin (voyez nous avons un clocher chez nous).
Tire, lire, li, tontaine (voyez le grand seigneur, jaloux de ses sultans).
Toi dont l’amour m’est plus cher que la vie 
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Ton humeur est, Catherine 
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Tôt, tôt carabot, compère Guilleri, ou il était un p’tit homme 
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Tôt, tôt, tôt, battez chaud, bon courage (voyez vaudeville du Maréchal ferrant).
Touchez-là, vous n’aurez pas ma fille (voyez un chevalier, deux chevaliers).
Toujours, toujours, il est toujours le même 
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Toujours de bout, toujours en route 
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Toujours de trinquer avec nous (voyez amis, dépouillons nos pommiers).
Toujours seule, disait Nina, ou s’il a, comme le bon Henri 
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Tous les bourgeois de Châtres 
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Tous les jours au fond de mon cœur 
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Tout ça passe en même temps (voyez la vie est comme un jardin).
Tout chacun l’aime et l’admire, ou je ne veux pas qu’on me prenne pour un petit babillard 
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Tout comme a fait ma mère (voyez on nous dit qu’dans le mariage).
Tout consiste dans la manière 
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