Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/438

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Tout est charmant chez Aspasie, ou, sur son Sopha, dans son boudoir 
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Tout le long, le long, le long de la rivière (voyez connaissez-vous l’amiral Anson).
Tout roule aujourd’hui dans le monde 
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Traitant l’amour sans pitié, ou un lien triste et bourgeois 
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Travaillez, travaillez, bon tonnelier (voyez un tonnelier vieux et jaloux).
Triste raison, j’abjure ton empire, ou le connais-tu, ma chère Éléonore 
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Trop de pétulence gâte tout (voyez vaudeville du Bûcheron).
Trouver le bonheur en famille (voyez vaudeville de l’île des femmes).
Trouverez-vous un parlement 
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Tu croyais, en aimant Colette 
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Tu disais que tu m’aimais 
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Tu n’auras pas, p’tit polisson 
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Tu ne vois pas, jeune imprudent (voyez l’un est le fils du sentiment).
Turlurette, ma tan turlurette, ou si j’avais autant d’écus 
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U.

Un ancien proverbe nous dit 
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Un bandeau couvre les yeux 
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Un beau troubadour béarnais (voyez air de la romance d’Héléna).
Un bon vieillard de Gaillardbois 
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Un bienfait n’est jamais perdu (voyez un pauvre petit Savoyard).
Un chanoine de l’Auxerrois, ou le punch et le vin que j’ai pris 
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Un chevalier, deux chevaliers, ou touchez-là, vous n’aurez pas ma fille 
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