Page:Capus – Qui perd gagne.djvu/258

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— J’envoyais ce commissionnaire chez vous, Madame… avec un mot… Tenez, le voici, le mot. Ce n’est pas la peine de le lire maintenant… Je vous disais que j’étais entièrement à votre disposition… et que si je pouvais vous être utile…

Tristement, elle dit :

— Je ne crois pas…Vous êtes bien gentil tout de même.

Elle lui tendit la main.

— Il n’y a plus rien à faire. Farjolle est en prison ; regardez.