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Page:Carco - L'Homme traqué, 1922.djvu/218

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l’ordure qu’il remuait à chaque mouvement, la puanteur et la folle épouvante. Il haletait. Il n’avait plus de forces. Il n’avait plus d’espoir. Le monde entier l’abandonnait et il fallait, par surcroît, que Lampieur, assistant à cet innommable supplice, y fût comme impuissant.


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