Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 4.djvu/101

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M. DUBREUIL, fils.

Voilà l’embarras. M. Trotberg a demandé tout plein de choses, que la Pierre n’a pû lui donner.

M. DUBREUIL, pere.

Parce que je n’ai pû rien comprendre.

M. DUBREUIL, fils.

Ni moi non plus.

M. TROTBERG.

Et cependant, Monsieur, vous m’avez dit de dire le, & je demande le, il veut me donner quoi. Et puis je voulois parler à vous, il m’a dit quand & l’heure ; c’est un tiable d’homme, qui me feroit être un fou, cette la Pierre !

M. DUBREUIL, pere.

Je suis aussi embarrassé que vous.

M. TROTBERG.

Mais, Monsieur, je puis bien vous dire ; j’ai écrit ici. (Il prend ses tablettes.) Ne m’avez-vous pas dit : si vous voulez envoyer quelque part, dites, où.

M. DUBREUIL, pere.

Oui.