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M. DUBREUIL, pere.
Voilà du papier, de l’encre ; je reviendrai vous tenir compagnie bientôt.
M. TROTBERG.
Je suis ici avec ma porte-feuille, je lis tout cela.
M. DUBREUIL, pere.
Si vous avez besoin de quelque chose, appellez la Pierre.
M. TROTBERG.
Besoin, c’est nécessaire, je me souviens. Et la Pierre ?
M. DUBREUIL, pere.
C’est cet homme-là.
M. TROTBERG.
Cet homme-là, on l’appelle une Pierre ?
M. DUBREUIL, pere.
Oui ; c’est son nom.
M. TROTBERG.
Je entend bien ; c’est comme nous disons un arbre de noix, arbre d’olive.
M. DUBREUIL, pere.
Oui, du noyer, olivier.
M. TROTBERG.
Du noyer, noix ; olivier, olive. Je écris, permettez. (Il écrit.) Je finis.