Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
M. De SAINT-AURELE.
Apparemment que cet étourdi de Valbert, est venu dès le matin pour me remercier.
Mlle . De SAINT-AURELE.
C’est cela même.
M. De SAINT-AURELE.
Il pouvoit bien attendre un peu plus tard. Mais où est-il donc ?
Mlle . De SAINT-AURELE.
Tenez, le voilà.
M. De SAINT-AURELE.
Ah ! Monsieur le drôle, vous m’avez fait grand tort de me réveiller ; mais je vous le pardonne.
M. De VALBERT.
Monsieur, je ne saurois vous exprimer ma joie : ah ! Mademoiselle.
Mlle . De SAINT-AURELE.
Mon pere !…
M. De SAINT-AURELE.
Oui, oui, vous direz tout cela demain. J’ai envie de m’aller coucher dans mon lit. Appellez-moi Flamand ; car je ne sai où est ma bonnette.
Mlle . De SAINT-AURELE.
Vous n’aurez pas besoin de lui, papa.