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Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 7.djvu/164

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M. DE LA RIVIERE.

Mais comme il n’y a pas de remede, voyant combien je les approuvois d’une action si louable…

M. D’AVARIN.

Si louable !

M. DE LA RIVIERE.

Ils continueront, avec une sœur de Dame Jeanne.

M. D’AVARIN.

Ils continueront !

M. DE LA RIVIERE.

Sans doute.

M. D’AVARIN.

Je vous avoue que je suis confondu de tout ce que vous me dites là.

M. DE LA RIVIERE.

C’est pourtant la vérité.

M. D’AVARIN.

Non, je ne le comprendrai jamais.

M. DE LA RIVIERE.

Ils ont bien voulu m’associer à cette bonne œuvre, je leur ai donné un louis pour cela.

M. D’AVARIN.

Quoi, Monsieur, vous êtes associe avec ces Messieurs pour une pareille chose ?

M. DE LA RIVIERE.

Oui, mon ami ; & j’ai été si enchanté de voir