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M. SOBRIN.
Bon.
Me. BABAS.
Et, quelque chose que nous lui ayions dit, il n’a pas voulu ouvrir les yeux.
M. SOBRIN.
Bon.
Me. BABAS.
Comment, bon, bon, bon ; mais s’il continue, nous ne saurons qu’en faire.
M. SOBRIN.
Fort bien : je sais à présent la cause du mal, & je le guérirai.
Me. BABAS.
Vous ne le guérirez pas, si vous ne trouvez le moyen de le résoudre à manger.
M. SOBRIN.
Au contraire. Ecoutez-moi.
Me. BABAS.
Mais, Monsieur, quand il n’y a plus d’huile dans une lampe, premiérement & d’un, il faut bien qu’elle s’éteigne ; on ne vit pas de l’air du temps, & votre diette…
Me. DENERÉE.
Ecoutez M. le Docteur, Madame Babas.
Me. BABAS.
Ah ! mon Dieu, qu’il parle tant qu’il voudra ;