Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 7.djvu/78

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M. SOBRIN.

Quand je vous dis que j’en suis sûr. Allons, Monsieur Despreuils.

M. DESPREUILS.

Ah ! c’est vous, Docteur ?

M. SOBRIN.

Oui, c’est moi. Donnez-moi votre bras. Fort bien : il n’y a plus d’agitation.

M. DESPREUILS.

Ah ! Docteur, j’ai fait un terrible rêve.

Me. BABAS.

Ah ! s’il prend cela pour un rêve !

Me. DENERÉE.

Ne dites donc rien, Madame Babas.

M. DESPREUILS.

Je me suis cru mort.

M. SOBRIN.

Eh bien, vous ne le croyez plus ?

M. DESPREUILS.

Non, vraiment ; je me sens même assez de force.

M. SOBRIN.

C’est moi qui vous ai tiré de là.

M. DESPREUILS.

Vous ?