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Me. VARLOPE.
Voilà ce que je lui ai dit. Cela est plus cher ; mais ce sont les pratiques qui paient tout cela.
Me. FRANGEOT.
Sans doute.
Me. VARLOPE.
Et, Dieu merci, il y en a de bonnes à présent, elles sont toutes dans la finance.
Me. FRANGEOT.
Cela est bien heureux, aussi vous devenez une grosse Dame, ma voisine.
Me. VARLOPE.
Ecoutez donc ; je ne me laisse manquer de rien, comme de raison ; mais ce qui m’embarrasse, ma voisine, c’est que j’ai acheté un bonnet à la mode, & je ne sais pas le mettre sur ma tête.
Me. FRANGEOT.
C’est qu’il est trop en avant, on ne voit pas assez les cheveux ; & puis ils sont trop plats.
Me. VARLOPE.
Je le sais bien.
Me. FRANGEOT.
Voyez-moi. Il faut avancer les cheveux, & reculer le bonnet. Laissez-moi faire. (Elle la raccommode.)