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M. BETASSIER.
Si c’est dans votre jardin, je me promènerai avec vous.
Scène VII.
Me. PAVARET, M. GOBERGEAU, Mlle . BATILDE.
M. GOBERGEAU.
Tenez, le voilà qui s’en va avec notre ami Landier.
Me. PAVARET.
Eh ! pourquoi faire ?
M. GOBERGEAU.
Je lui ai persuadé que Landier étoit son prétendu beau-pere.
Me. PAVARET.
Mais c’est donc ce qu’on appelle absolument un sot ?
M. GOBERGEAU.
Oh ! je vous en réponds, & le plus vilain avare qu’il soit possible de rencontrer.
Me. PAVARET.
Ce sera au moins une raison à opposer à mon frere.