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M. GOBERGEAU.
J’ai imaginé un bon moyen pour nous en défaire ; mais il ne faut pas perdre de temps.
Me. PAVARET.
Quel est ce moyen ?
M. GOBERGEAU.
Vous saurez que les habits verds lui tournent la tête, & qu’il croit, dès qu’il en voit un, que c’est Duverdier : il m’a pris pour lui.
Mlle . BATILDE.
Il a cru aussi que Monsieur de Clairville étoit mon père.
M. GOBERGEAU.
Où est-il Clairville ?
Me. PAVARET.
Il est allé chercher Monsieur Landier, pour l’engager à parler fortement à mon frere ; il voudroit bien que vous voulussiez aussi l’appuyer.
M. GOBERGEAU.
Nous n’aurons pas besoin de cela.
Me. PAVARET.
Que prétendez-vous faire ?
M. GOBERGEAU.
Qu’il me prenne encore pour Duverdier ; & je lui parlerai d’un ton…