Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/122

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que le Chevalier l’épouse, il est magnifique, il me vengera en la ruinant.

Constance.

Ah, mon Père !…

Le Chevalier.

Monsieur croyez…

M. de Lépargnau.

Je ne vous reverrai de la vie.

Poitevin.

Vous voulez donc que je parle.

M. de Lépargnau.

Quoi, encore ?

Poitevin.

Oui, Monsieur.

M. de Lépargnau.

Allons, il faut donc que je vous pardonne à tous.

FIN.