tir dans cet état, sans me rappeler la
scène qui s’était passée entre Mme Durancy
et l’inconnu ; mon cœur palpitait ;
un baiser que Jeannette me donne
sur la bouche m’enflamme ; je le lui
rends en la serrant dans mes bras.
Alors, elle relève ses jupons et son
ventre est appuyé contre le mien ; ce
doux contact m’électrise, à l’approche
de sa main, qu’elle passe entre
mes deux cuisses. Je les entr’ouvre
avec volupté, bientôt son doigt s’anime…
Quels délices… Je rendais
au centuple les baisers qu’elle me donnait ;
je la serrais dans mes bras…
Je relevais son jupon jusqu’au milieu
des reins, et je caressais son joli derrière.
Les atteintes du plaisir se font
sentir ; mes cuisses se soulèvent amoureusement ;
mes jambes se croisent sur
sa croupe, et, dans cette attitude, la
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