plus froids ! J’étais confus au point
qu’elle dut sentir mon bijou se détendre
et rentrer presque dans le néant ;
je n’osai plus remuer, et ne quittai
ma position quoiqu’à regret, que lorsqu’elle
m’avertit que ma toilette était
finie : alors on acheva de m’habiller
en femme de chambre. Je respirais une
voluptueuse molesse sous ce vêtement
et je croyais toute la cérémonie terminée,
lorsque madame Durancy me
couche sur le lit et me trousse ; je me
comparai alors à une victime fortunée
du dieu des plaisirs. Elle s’empara de
mon bijou : il faut éviter, dit-elle, à
l’autre femme que sa tension ne le décèle
à mon mari : à l’aide de ce lien,
il pourra le fixer sous les cordons des
jupons : il faut aussi ménager les deux
petits globes, en disant cela, elle les
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