Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/128

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agitait lentement avec sa main… Que dirais-je, mon bijou fut bientôt aussi brillant qu’il l’avait été un instant auparavant. Vous êtes donc plus polisson que jamais, me dit-elle, en me levant la cuisse et m’appliquant quelques coups assez forts ; ce n’était pas le moyen d’assoupir mes feux : aussi une inondation jaillit aussitôt et couvrit la figure de madame Durancy. Comment, malhonnête, s’écria-t-elle ; ah ! dieux… — Ma… da… me, je… vous… oh !… pardon… furent les seules paroles que je pus proférer dans l’évasion du fluide amoureux ! Pendant ce temps là, elle me frappait le derrière assez lestement. Je vous demande pardon, lui dis-je avec un grand soupir ; mais en vérité ça cause tant de plaisir, que le respect le plus grand