eau que se servait madame Durancy.
Elle avait la propriété de rafraîchir et
de raffermir la peau, d’entretenir l’incarnat
de l’entrée du temple de la volupté
et de l’amour, et le pauvre
M. de Varennes fut, comme toi, dupe
sur mon pucelage. Je vis donc cet
amant s’extasier ; son œil brillait et
son visage s’enflammait par degrés.
Tout-à-coup, il se précipite sur moi
et me mord la cuisse avec tant de violence
que je pousse un cri aigu. La
douleur me fait retourner, et soudain
il applique ses dents dans mon derrière
avec la même fureur. Je me retournai
précipitamment : grâce, lui criai-je
dans l’excès douloureux qui me pénétre ;
j’agite mes bras, mes cuisses en
tous sens. M. de Varennes se tient debout
et contemple avec avidité tous
ces mouvemens occasionnés par la
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