descendre, et là, De Varennes s’expliqua
ouvertement sur ses desseins à
mon égard. D’abord il exigea que Brabant
se présentât avec les habits de
son sexe, nous dit ensuite qu’il voulait
nous renvoyer tous satisfaits autant
que nous avions droit de l’espérer ;
mais qu’il voulait terminer par une
partie de plaisir, qui par la nouveauté
ne laissât rien à désirer au goût de
chacun et à la volupté. En conséquence
le dîner se couronne par d’abondantes
libations qui, en égayant l’imagination,
l’échauffent par degrés.
Après nous nous rendons dans l’appartement de madame Durancy… De Varennes s’empare de moi, m’embrasse avec ardeur, soulève mes jupons… Madame Durancy de son côté, voulant faire perdre à Brabant sa timidité ordinaire, l’avait renversé sur son lit et