frait à ma vue, les sensations qu’excitait
intérieurement le tendre Brabant,
me tirèrent bientôt de cet état charmant
pour me plonger dans une mer
de délices, qui se dépeignent par mes
exclamations, mes soupirs et le doux
frémissement qui se fait sentir au même
instant dans toutes les parties de mon
être. Amoureusement étendue auprès
de Brabant que je serrais dans mes
bras, je me sentis tout-à-coup saisir
par le robuste De Varennes, il me retourne,
s’appuie sur mes genoux et
mes cuisses étant entr’ouvertes, il introduit
à son tour son flambeau d’amour
dans le sanctuaire… Ciel !
combien cette nouvelle position me
parut pleine d’attraits ! Ma tête était
penchée sur le corps de Brabant, ma
langue caressait la tête de son vit et
mes mains le faisaient agir. De son
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