Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/177

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quelques discussions que la décence ordonnait, je le reçus à mes côtés ; mais préalablement je plaçai bien avant entre les deux malelats ce qu’il m’avait apporté. Par reconnaissance, je réunis tous mes soins pour le rendre heureux. Hélas ! chez lui l’âge avait glacé le sentiment. En vain me prêtai-je à tout ce qu’il exigeait de moi ; en vain prenais-je toutes les positions que son désir de jouir lui suggérait, rien ne put vaincre la constante mollesse de son triste penin. Il voulut que je me couchasse sur lui ; il prétendait que cette autre position ranimerait des feux dont il n’existait depuis long-temps aucune étincelle. Je me prêtai même à cette fantaisie, bientôt je m’aperçus qu’il s’était endormi. Cependant j’étais courroucée contre ce maudit vieillard, auprès duquel mes soins n’avaient servi