Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/198

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 49 )


à lui donner la facilité de satisfaire sa curiosité en contemplant mes appas. Ma main effleure sa cuisse ; un léger mouvement m’avertit qu’il est sensible à mon action, sa culotte s’enfle à vue d’œil, et la forte tension de son bijou, que je continue de frotter et de presser légèrement, est la preuve que mes soins ne sont pas infructueux. Tout est naturel chez l’homme à qui la vigueur du tempéramment fait ressentir par degrés les charmes de la volupté ; aussi, à mesure que j’ôte un bouton, ses soupirs annoncent le ravissement qu’il éprouve ; il augmente lorsque sa culotte est tout-à-fait ouverte, et le frottement de sa chemise, lorsque je l’enlève, le fait tressaillir de joie. Enfin, ses appas totalement à nu, m’offrent le plus beau des traits que Cupidon ait eu dans son arc, et qui ne peut