Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/199

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être comparé qu’à celui de St-Far. Je m’en empare, l’agite : pour le coup, il ne peut tenir contre les diverses sensations que l’art et la volupté savamment développés lui procurent.

Ma main voltige partout ; chacune de ces mutations est marquée par l’impression qu’il ressent. Tantôt sa bouche exprime par des sons entrecoupés, que les feux de l’amour sont en possession de ses sens ; dans l’excès de son ivresse, il soulève mes jupons, et, en proie aux doux accès de la volupté, sa bouche s’applique sur une de mes fesses, avec cette ardeur dont le volume se répand sur toutes les parties propres à recevoir son électricité. Une de ses mains se glisse entre mes cuisses ! Ah ! quel plaisir, je lui livre un libre passage ; mes appas sont donc au pouvoir de l’innocence, qui, gui-