Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/208

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dois beaucoup à ton jeu divin. Ta croupe divine aide merveilleusement mes efforts, et ici tu as fait plus que moi. Allons, vigoureux pucelage de Philippe. — Au vit toujours bandant de Saint-Far ? — Cette fois, les macarons vont te payer, et le reste ne l’épargne pas ! tu en sais faire un si bon usage ! — Eh bien ! Philippe, nous l’avons laissé sur ton sein ? — Oui, j’y suis. Ah ! dieu, s’écrie-t-il, quel plaisir inconnu ! que n’êtes-vous ma femme ! que ne suis-je Brabant ! Brabant, m’écriai-je ; Brabant ! Grand dieu ! que dis-tu ? Le mouvement que je fis effraya Philippe : il tomba en bas du lit, roula dans la chambre et s’enfuit, en relevant sa culotte. En vain je le rappelai, il était loin. Comment, me dis-je, Brabant, est ici connu ? Serai-je ici chez Brabant ; une foule d’idées