hauteur d’homme ; deux jeunes filles
s’y placent, l’une est assise et l’autre
est à genoux. Deux autres filles, occupées
à caresser Ali par devant et par
derrière, le conduisent en face de moi ;
il saisit mes jambes, et son trait, guidé
par la main des deux acolytes, m’a
pénétrée. Ali était debout ; il avait à la
hauteur de sa tête ces deux jeunes
filles qui, comme je l’ai dit, étaient
placées sur cette espèce de balançoire ;
l’une lui présentait le devant,
et l’autre le derrière. Son œil est satisfait ;
il applique ses lèvres ardentes sur
les objets qui se présentent à sa vue.
Les deux autres sont occupées à le caresser en tous sens ; elles le baisent tour à tour dans le lieu où le contact des lèvres peut opérer quelques sensations ; elles vont même jusqu’à cher-