pant légèrement, je vis son petit instrument.
Sur le champ je fus instruite,
et voulus laisser le petit espiègle. Eh
bien ! ma belle maîtresse, me dit-il,
corrigez moi donc encore ; si ma faute
n’est pas assez grande, punissez moi
pour la première fois, je vous promets
de mériter mon châtiment. Je vis que
le petit méchant avait plus de malice
que moi ; mais j’étais satisfaite et je
le laisse aller ; pendant huit jours que
nous restâmes à la campagne, je ne
pensai qu’à cette différence de sexe et
j’étais dévorée de savoir à quoi elle
pouvait servir, lorsqu’un jour sur la
brune, derrière le feuillage où j’avais
corrigé le petit espiègle, je le vis les
culottes bas baissant la tête et examinant
avec attention les cuisses, les fesses,
et la fente d’une petite fille d’environ
neuf ans, qui lui disait : laisse
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