encore la différence qu’il y avait entre
un homme et une femme ; depuis les
derniers événemens ; je désirais beaucoup
connaître cette différence : tout
l’extérieur de l’homme étant presque
semblable à celui de la femme, aux
tétons et à la barbe près, je me doutais.
que cette différence existait entre
les cuisses ; je ne savais comment vérifier
mes doutes ; un petit espiègle
qui me fit une malice m’en fournit
l’occasion ; j’étais seule dans le jardin,
sous un feuillage épais, lorsque mon
petit espiègle s’approcha de moi et sous
le prétexte de le punir de m’avoir
gaussé, je lui défis ses culottes et le
fouettai, au lieu de se fâcher de ma
colère apparente et de chercher à se
débarrasser, le petit drôle qui avait
huit ans environ me laisse faire, je
lève sa chemise très-haut, et en frap-
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