reprendre pour retourner à Lyon, il
me demanda comment j’avais trouvé
cette campagne ; la beauté du lieu,
les connaissances que j’y avais acquises
me la firent paraître charmante :
je répondis, que je l’avais trouvée
délicieuse. Il sourit et le lendemain
nous retournâmes à Lyon ; il était nuit
lorsque nous arrivâmes, on se mit à
table, on me fit mille caresses, et madame
Durancy me prévint qu’elle coucherait
avec moi ; je résolus cette fois
de bien examiner et d’éclaircir mes
soupçons, je ne pouvais jamais me
donner l’explication de ce quelque chose
de dur que j’avais senti entre les
cuisses : Est-ce un homme ? me disais-je,
mais cependant, elle a des tétons,
point de barbe, ce n’est donc point
un homme. Mais pourquoi ce quelque
chose entre les cuisses ? J’entrevoyais
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