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son postérieur bondissait d’aise. Ce jeu dura peu. Après madame Durancy se renversa sur le lit de manière que sa tête touchait à ma hanche, et la personne inconnue, et que je ne pouvais distinguer, se coucha sur elle, de sorte que la bouche de madame Durancy étant au niveau de mon bijou, cette personne pouvait promener ses baisers sur l’une et sur l’autre ; cependant, je ne comprenais rien à tout ce qui se faisait, le derrière de la personne qui était dessus, se haussait et se baissait a différentes reprises ; mais avec un tel vacarme que le bois de mon lit en gémissait. Quant à madame Durancy, elle me parut goûter beaucoup de satisfaction. L’inconnu, car enfin, je me doutais bien que c’était un homme, qui la couvrait de baisers de moment à l’autre, ensuite sa lan-