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Page:Casgrain - Légendes canadiennes, 1861.djvu/201

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I


[1] Combien j’ai suave et fraîche souvenance de ces jours vermeils, où, folâtre

  1. Cette fantaisie, qui précède la Légende de la Jongleuse, paraîtra au premier abord un hors d’œuvre ; mais, si l’on prend la peine d’y regarder de près, on verra que cette longue rêverie se rattache assez intimement au sujet, puisqu’elle dessine un coup d’œil général des lieux où se passent les scènes de la Légende.