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Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/237

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impétueux qui menace de tout emporter. C’est pour que vous ne soyez pas noyés dans les eaux du fleuve que je vous ai donné le Pont. Je t’ai montré combien se trompent ceux qui se laissent envahir par une crainte désordonnée ; je t’ai fait voir comme je suis votre Dieu qui ne change pas, qui ne regarde pas aux personnes, mais aux saints désirs. C’est ce que j’ai fait comprendre, par la figure de cet arbre.