positif ou négatif, on conclura du théorème VI que, pour obtenir l’extrémité de l’arc ( étant un nombre entier), il faut porter sur la circonférence, à partir de l’extrémité de l’arc , soit dans le sens des arcs positifs, soit dans le sens des arcs négatifs, une longueur égale à , c’est-à-dire parcourir fois la circonférence entière dans un sens ou dans l’autre, ce qui ramènera nécessairement au point d’où l’on était parti. Il en résulte que les extrémités des arcs coïncident.
On conclura également des théorèmes VI ou VII : 1o que les extrémités des arcs comprennent entre elles un arc égal à et se confondent par conséquent avec les extrémités d’un même diamètre ; 2o que les extrémités des arcs comprennent entre elles un quart de circonférence, en sorte qu’elles coïncident avec les extrémités de deux rayons perpendiculaires l’un à l’autre.
Enfin, on conclura du théorème VIII : 1o que les extrémités des arcs sont situées à égales distances de l’extrémité de l’arc et par conséquent placées symétriquement de part et d’autre du diamètre vertical ; 2o que les extrémités des arcs sont situées à égales distances de l’extrémité de l’arc