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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2.pdf/274

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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE

264 INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE (Paris), 24 juillet. A Caroline Branchu. Je suis trop inquiète, chère Caroline, pour m’arrêter d’écrire. Toi ou ma bonne Inès… Paris, 27 juillet. Au docteur Dessaix. Vous êtes ému… (aut. Douai). (Coll. A. H. de Favreuil). Paris, 31 juillet. A Frédéric Lepeytre. J’ai eu la joie de l’entier rétablissement de Frédéric, que j’embrasse de toute l’affection… (sans date). A Ondine. (M. p. 137). Amour tendre de ta mère, chère cueilleuse d’herbes et de fleurs, tout est arrivé embaumé… (aut. Douai ; R. II p. 13 ; fragm. Bibl. I p. 368). Paris, 6 août. A Ondine. Ta lettre me charme et m’attriste. Qu’as-tu donc, mon cher ange ? Moi qui comptais tant sur… (aut. Douai ; R. II p. 15 ; fragm. Bibl. I p. 374). Paris, 8 août. A Caroline Branchu. J’ai écrit à Péla, mon bon ange. Je lui donne l’explication de nos incertitudes… (aut. Douai ; fragm. R. II p. 18 ; cit. V. p. 175). 12 août. A Inès. Ma petite bien aimée, notre bonne Caroline n’a jamais pensé que je te laisserai longtemps loin du moi… Paris, 14 août. A Ondine. (aut. Avignon). Ta lettre m’a rendu la vie nécessaire pour ce moment de sacrifice… (aut. Douai ; R. II p. 19).