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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2.pdf/275

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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE 265 (Paris, 21 août). A Prosper Valmore. L’idée que tu es aussi triste que moi ne me console pas, mon ami.. (aut. Douai ; Boy. II p. 1). (Paris), 22 août. A Ondine. Je ne peux me défendre de t’écrire, mon cher et bon ange, car tu serais trop étonnée… (aut. Douai ; fragm. R. II p. 20). Paris, 24 août. A Prosper Valmore. Je t’écris sur ton secrétaire. J’ai du moins ce que tu quittes et je touche… (aut. Douai ; Boy. II p. 2 ; fragm. R. II p. 21). (Paris), 25 août. A Boitel. Ce déchirement de cœur… (Coll. A. H. de Favreuil). Paris, 27 août. A Prosper Valmore.. Je viens, mon cher bien aimé, du faubourg St Germain. J’allais dans le dessein… (aut. Douai ; Boy. II p. 4 ; fragm. R. II p. 22 ; fragm. L. p. 287 ; B. p. 209 ; fragm. Bibl. I p. 320). Paris, 30 août. A Ondine. Viens, ma fille, que je t’aime et que je t’embrasse ! Que tu as bien fait de venir… (aut. Douai ; R. II p. 23). Paris, 2 septembre. A Jean-Baptiste Gergerès. Quand je vous dirai que votre lettre m’a vivement touchée, vous le savez… Paris, 3 septembre. A Prosper Valmore. (M. p. 71). Oh ! mon cher Prosper ! Je suis avec toi, songes-y ! qué toute crainte s’éloigne… (aut. Douai ; Boy. II p. 7).