Page:Cazalis - Le Livre du néant, 1872.djvu/108

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Allah se parle sans cesse, comme un homme seul dans la nuit et que l’ombre épouvante.




Ô Allah, chaque âge du monde manifeste une de tes puissances, une de tes formes, un de tes noms.




Tous les Dieux, ô Allah, sont postérieurs à Toi : chacun d’eux n’est qu’une de tes splendeurs entrevues, un de tes reflets dans les choses.