Page:Cazotte - Le Diable amoureux.djvu/155

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Il était assis tout vêtu, à la réserve de son pourpoint, sur un petit tabouret ; il avait étalé ses cheveux qui tombaient jusqu’à terre, en couvrant, à boucles flottantes et naturelles, son dos et ses épaules, et même entièrement son visage.

Ne pouvant faire mieux, il démêlait sa chevelure avec ses doigts. Jamais peigne d’un plus bel ivoire ne se promena dans une plus épaisse forêt de cheveux blond-cendré ; leur finesse était égale à toutes