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Je les aborde. « Parliez-vous de moi, mesdames ? leur dis-je, voyant qu’elles continuaient à me fixer et à se faire des signes…
— Vous nous écoutiez donc, seigneur cavalier ?
— Sans doute, répliquai-je ; et qui vous a si bien instruites de l’heure de ma nativité ?…
— Nous aurions bien d’autres choses à vous dire, heureux jeune homme ; mais il faut commencer par mettre le signe dans la main.
— Qu’à cela ne tienne, repris-je ; et sur-le-champ je leur donne un doublon.
— Vois, Zoradille ; dit la plus âgée, Vois comme il est noble, comme il est fait pour jouir de tous les trésors qui lui sont destinés. Allons, pince la guitare, et suis-moi. » Elle chante :