Page:Cazotte - Le Diable amoureux.djvu/296

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taille ; la curiosité engage l’action, l’allégorie est double, et les lecteurs s’en apercevront aisément.

On ne poursuivra pas l’explication plus loin : on se souvient qu’à vingt-cinq ans, en parcourant l’édition complète des œuvres du Tasse, on tomba sur un volume qui ne contenait que l’éclaircissement des allégories renfermées dans la Jérusalem délivrée. On se garda bien de l’ouvrir. On était amoureux passionné d’Armide, d’Herminie, de Clorinde ; on perdait des chimères trop agréables si ces princesses étaient réduites à n’être que de simples emblèmes.