Page:Ceysset et Pébernard - Défectuosité des aplombs.djvu/31

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De plus, ce cheval « rase le tapis, bute souvent, s’abat et porte aux genoux, quelquefois au bout du nez et à la face interne de la lèvre supérieure, des blessures qui témoignent hautement de sa faiblesse. » — Vallon.

Analysez, si vous le voulez, tous les défauts d’aplomb ; mais soyez sûr que la théorie et l’expérience vous prouveront que tous, sans exception, nuisent plus ou moins aux organes locomoteurs.