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DEUXIÈME PARTIE
Ces moyens sont nombreux. Nous n’examinerons ici que
1° L’usure régulière du pied ;
2° L’exercice modéré ;
3° La nourriture.
Pour agir sur un phénomène, le provoquer ou l’empêcher, il faut intervenir dans sa cause ; le premier point est donc de connaître cette cause ; car, quand elle cesse d’agir, le phénomène doit cesser d’apparaître.
Supposons un cheval panard, long jointé, etc… ; nous considérons ces défauts comme étant le plus souvent postérieurs à la naissance et nous les attribuons : 1° à ce que le poulain, privé de sa liberté, s’est trouvé dans l’impossibilité d’user la corne de ses pieds et a habité un sol trop en pente ; 2° à ce qu’on ne l’a pas exercé modérément depuis le sevrage jusqu’à l’âge de deux ans et demi à trois ans ; 3° à ce qu’on n’a pas mis assez d’empressement pour bien nourrir le