Page:Châteaubriant, Alphonse de - Monsieur des Lourdines, 1912.djvu/101

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fonctions, passait pour aussi tranchant qu’un canif ouvert de toutes ses lames.

« Assurément, dit-il, assurément, on a toujours besoin des autres… Mais, voyons ! ressaisis-toi… qu’est-ce qu’il y a, des Lourdines ? »

Et, à petites tapes sur l’épaule, il encourageait au calme son ancien condisciple, qu’il tenait d’ailleurs pour un esprit très moyen, autant que pour un brave homme.

M. des Lourdines tira de son portefeuille un papier.

« Lis cela ! » dit-il, en se laissant tomber sur un siège, le front dans ses mains, pendant que le conseiller s’approchait de la fenêtre, pour y voir plus clair.

M. Lamarzellière lisait à mi-voix :

« Monsieur le Comte. »

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