Page:Chénier - Œuvres complètes, éd. Latouche, 1819.djvu/296

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Son pied sonore et vigilant,
Le sommeil du tombeau pressera mes paupières
Avant que de ses deux moitiés
Ce vers que je commence ait atteint la dernière,
Peut-être en ces murs effrayés
Le messager de mort, noir recruteur des ombres,
Escorté d’infâmes soldats,
Remplira de mon nom ces longs corridors sombres.
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