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ODES
Ma muse en poétique offrande
Lui tressa l’amarante, immortelle guirlande
D’où vient donc, etc…[1]
X[2]
À CHARLOTTE DE CORDAY
Exécutée le 18 juillet 1793
Quoi ! tandis que partout, ou sincères ou feintes,
Des lâches, des pervers, les larmes et les plaintes
Consacrent leur Marat parmi les immortels ;
Et que, prêtre orgueilleux de cette idole vile,
Des fanges du Parnasse, un impudent reptile
Vomit un hymne infâme au pied de ses autels ;[3]
- ↑ Le manuscrit offre cette variante :
Ma lyre, naïve interprète,
Ainsi chanta V. (Versaille) et ma belle retraite
D’où vient donc… etc…
Le poète avait passé un trait vertical sur ces trois vers, et les avait refaits ensuite plus bas tels qu’ils sont. (G de Chénier.) - ↑ Édition 1819.
- ↑ L’hymne de Xavier Audoin.
ὅ σφισι καὶ θέρεος καὶ χείματος ἀρχομένοιο.
σημαίνειν ἐκέλευσεν ἐπερχομένου τ’ ἀρότοιο.
Et V. le scoliaste Théon, quoique interpolé.
Eratosth. Calart. V. πλειάς μεγίοτην
δ’ ἔχουσι δόξαν ἐν τοῖς ἀνθρώποις ἐπισημαίνουσαι
καθ’ ὥραν (de saison en saison).