de Sainte-Beuve, ainsi qu’un autre article qu’il fit paraître en 1851 sur André Chénier, homme politique.
En 1840, dans la Bibliothèque d’Élite, « Œuvres en prose de André Chénier, augmentées d’un grand nombre de morceaux inédits, et précédées de toutes les pièces inédites relatives à son procès devant le tribunal révolutionnaire, seule édition complète publiée sur les manuscrits autographes de l’auteur, communiqués par la famille. Paris, librairie de Ch. Gosselin, 9, rue Saint-Germain des Prés, 1840. »
Dans l’Intermédiaire des chercheurs et curieux, du 10 août 1864, M. A. France publia quelques vers inédits attribués à André Chénier. (Voy. tome Ier, la note 2 de la p. 135.)
M. Egger, dans la Revue des Cours littéraires du 7 décembre 1867, donna une étude sur l’Hermès où il apporta quelques fragments inédits.
M. Guillaume Guizot, ayant eu les manuscrits sous les yeux, put, le 3 février 1869, dans son cours du Collège de France, produire quelques détails nouveaux.
M. Becq de Fouquières publia une première édition critique des Poésies d’André Chénier en 1862, chez Charpentier, un vol. in-12 ; « Édition ornée d’un portrait d’André Chénier, avec une étude sur sa vie et ses œuvres, des variantes, notes et commentaires, un lexique et un index ».
Œuvres en prose de André Chénier, nouvelle édition revue sur les textes originaux, précédée d’une Étude sur la vie et les écrits politiques d’André Chénier et sur la conspiration de Saint-Lazare, accompa-