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Vaison > où il futguidé par M. de Blégier, le Thor 2 , Pernes ! . Carpentras, Venasque, Cavaillon i.
11 lit un plus long séjour à Api >, peut-être à cause de l'église Sainte-Anne, ou se trouve un « autel des plus respectables, car le Saint-Esprit \ a dit sa messe '• <> ou plutôt pour étudier deux inscriptions 7. Il écrivait "a Hyp- polyte Royer-Collard :
« Je viens de brocher un torche-c de 4 pages pour M. Gui^ot. La province m'a considérablement abruti et j'ai perdu l'habitude des rapports au Ministre. Je n'ai pas le courage de relire celui-ci. Vous ferez entendre à M. G. que je suis éreinté et qu'il faut qu'il se contente de ma bonne volonté. Je vous envoie deux inscriptions inédites que j'ai trouvées à Apt, dans la crypte de l'ancienne cathédrale. Apt est un trou abominable. Ses habitants m'y ont fait une ovation et j'ai eu à faire autant de speachs
1. Notes, pp. 172-91. Il est question des fouilles de Vaison dans diverses lettres à Requien, du 3 juillet 1844 (Revue tir Paris, p. 251), du 5 octobre 1845 (?■ 2 53) et du 13 avril 1846 (p. 254).
2. Id., p. 191-5.
3. Id., p. 195-200.
4. Id., p. 200-14.
5. Notes, id., p. 215-23.
6. /</., p. 217. — Chabouillet, dans l'exemplaire de la Bibliothèque de l'Université, a mis à cet endroit la note suivante: « Prosper Mérimée, malgré son esprit, entraîné par sa haine contre la religion, prête ici aux Ratichons (sic) une absurdité dont ils ne sont ni coupables ni capables. La légende ne parle pas du Saint-Esprit, mais de Saint-Eustice. Mérimée aura mal entendu ce nom peu connu, sauf à Apt, et qne je ne suis pas certain d'écrire correctement. »
7. Notes, p. 318. Il en avait envoyé une copie à H. Royer-Collard.
8. Marseille, 28 septembre.
