Page:Chambrier - Au delà (Fischbacher 1886).djvu/227

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

SENTIER PERDU.


 
Sur la montagne étrange et sombre
Il est un sentier attrayant,
Que l’on voit serpenter dans l’ombre
Sous le feuillage verdoyant ;

Les pins aux aiguilles légères
Lui font un dôme immense et frais ;
Sur ses bords croissent les fougères,
Ces dentelles de nos forêts.