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ESCLAVE AMOUREUSE

— Je ne veux pas que vous me disiez « allez-vous en ».

Puis il rendit la liberté à ses mains.

Il était contre elle et caressait ses hanches.

— Laissez-moi, Max.

En bas, piano et violons jouaient de nouvelles danses.

— Je voudrais relever cela, dit-il.

— Oh ! non… c’est de la folie, Max.

— C’est de la folie, oui…

— Je suis en toilette de bal… vous n’y songez pas…

— C’est parce que vous êtes en toilette de bal que j’aurais le désir de faire rougir les deux joues qui sont là-dessous.

— Oh ! non, ne me parlez plus, ne me dites rien… on peut monter, nous voir… et je serais perdue…

— Je suis agile et prudent et sait comment on se cache et disparaît.

— Max, mon ami, mon petit Max ; je vous en supplie. Plus tard, quand nous pourrons… je vous promets d’être à vous, vous serez mon mari… mais ne me touchez pas… ne me touchez pas…

— Je voudrais vous avoir à moi, oui, à moi seul, et vous frapper depuis la nuque jusqu’aux pieds…

— Vous ferez de moi ce que vous voudrez… mais pas encore… pas encore…