Page:Chapman - Les Aspirations, 1904.djvu/169

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Et quand tu reviendras du parage ignoré
Où tant d’audacieux espoirs avaient sombré,
Ton large front aura la pâleur glaciale ;
Mais dans l’ombre sereine où la gloire enfin luit,
Ton nom rayonnera comme parfois, la nuit,
Brille dans notre ciel l’aurore boréale.