Page:Chapman - Les Aspirations, 1904.djvu/312

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Sa chute a fait frémir toute l’humanité ;
Et c’est gisant au pied du vieux trône de Pierre
Que le vieillard auguste apparaît à la terre
Dans toute sa splendeur et sa sublimité.

Il est entré déjà dans l’éternel silence.
Nul ne le verra plus enseigner et bénir ;
Mais de l’arbre tombé vivra le souvenir,
Car sa grande ombre emplit le siècle qui commence.